Après mur réflexion, j'ai conclu que la saturation magnétique viendrait empêcher d'obtenir plus d'énergie potentielle magnétique que l'énergie nécessaire a l'induction.
En gros si tu empiles un tas de 5000 aimants, ils ne vont pas attirer le métal plus fort qu'un nombre définit d'aimant, qui serait à la limite de la saturation magnétique.
En conclusion, pour pouvoir bénéficier de ta "tour d'aimants", il faudrait augmenter le volume du métal et donc il faudrait plus d'énergie pour le chauffer.
Par contre, je me pose toujours la question du gadolinium qui a une température de curie de 20° et une conductivité thermique de 10.6W par mètre kelvin.
Car si chauffer un métal avec une température de curie de 800° dans un environnement à 20° demandes beaucoup d'énergie, chauffer du gadolinium à 40° dans un environnement à 10° est à mon avis peu énergivore.
Sachant que le GD est un métal qui a une bonne susceptibilité magnétique c'est intéressant de voir à ce niveau l'énergie potentielle que pourraient fournir des aimants avec du GD dans un environnement à 10° puis de chauffer ce dernier et de comparer la facture énergétique du chauffage.
Mais j'imagine que là aussi on est sous un cop de 1.
il n'y a pas de mystère quoi que l'on fasse la thermodynamique nous rattrapes toujours.
Mais avec un four solaire pour chauffer le GD c'est jouable, on ne viole aucune loi de la thermodynamique, il faut juste voir ce que les aimants peuvent fournir comme travail avec du GD a ses températures.
regarder ce pdf a la page 14:
http://depot-e.uqtr.ca/1426/1/000125437.pdfon voit clairement que l'on peut facilement augmenter considérablement la susceptibilité magnétique du GD avec par exemple une différence de température de 20° en dessous du point de curie et de 20° au dessus du point de curie.
A mon avis ont peut faire effectuer un travail a des aimants avec du GD dans cette plage de température, en chauffant puis en le refroidissant grâce a un frigo solaire et un four solaire, mais je n'est aucune idée du rendement possible.
Cordialement Katagena.